Gears of War 4

Gears of War 4 a lui profité de la Gamescom 2016 pour se dévoiler à  travers une démo de la campagne solo. L'occasion pour nous de se faire un premier avis sur les quelques minutes de jeux jouables !

Inutile de dire que la première chose qui nous vient à  l'esprit lorsque l'on pense à  la franchise Gears of War : beau et jouissif ! Pour ceux qui ne le savent peut-être pas, après le troisième opus, Epic Games a vendu la licence à  The Coalition à  qui l'on doit notamment Gears of War Judgment (qui se concentrait sur le mode multi au détriment de la campagne) mais aussi plus récemment Gears of War : Ultime Edition (qui était un remake du 1er opus seulement, de quoi décevoir un peu les fans qui attendaient un remake de la trilogie). Il s'agit donc de la vrai première suite du studio pour cette célèbre saga. Pour cette occasion nous avons le droit à  de nouveaux personnages : JD Fenix, qui n'est-autre que le fils de Marcus Fenix (personnage principal des premiers volets). JD est un soldat qui se bat pour la Coalition des Gouvernements Unis (CGU) comme son père avant lui. Bien sûr celui-ci n'est pas seul car il est accompagné de Delmont Walker, lui aussi membre du CGU, en plus d'être un ami de JD. Ce n'est pas tout, pour terminer, le dernier membre de l'escouade se nomme Kait Diaz, fille des leaders d'un groupe survivaliste nommé les Outsiders. Cette démo commence dans une grotte visiblement hostile, en effet des cocons attachés aux murs risquent d'exploser à  tout moment et de libérer des locustes pour le moins coriaces ! Une fois avoir tués quelques locustes lourdements armés, il vous faudra survivre à  une tempête. La tronçonneuse du Lanzor vous sera cette fois-ci encore plus qu'utile. Dès les premiers instants, il faut bien avouer que graphiquement, un pas vient encore d'être passé et servira une fois de plus de vitrine technologique à  Microsoft. Entre les effets d'explosions particulièrement réussis, la modélisations des personnages presque irréprochable (merci le motion capture) et les animations, c'est un véritable cocktail explosif.